Parce que David Bowie, parce que Glen Frey…
Avec la grande messe du salon de la biographie, une envie de revenir sur les autobiographies de trois stars sexagénaires hors normes comme un hommage à d’autres sexagénaires disparus ces jours derniers.
67 ans au compteur pour Keith Richards qui en 2010 publiait « Life » (Chez Laffont, (Norman Mailer Prize). Ce musicien, héroïnomane lucide et fier, nous livre ses plus qu’honnêtes confessions, considérées comme le vrai livre rock que beaucoup ont essayé d’écrire.
Il y a aussi le très beau « Just kids » de Patti Smith (68 ans) paru aux éditions Denoël en 2010, aussi…(National Book Award), dans lequel elle raconte le bouillonnant New-York des années 70 et sa relation avec le photographe Robert Mapplethorpe. On s’invite avec délice à la Factory, chez J. Hendrix, A. Warhol ou A. Ginsberg.
Une dernière autobiographie, celle d’Anjelica Huston (64 ans) « Suivez mon regard » paru aux Éditions de l’Olivier en 2015.
Elle vaut le détour, la fille du roi Huston, père-tyran, infidèle et absent. Elle a connu, du swinging London à Los Angeles, son lot d’amours toxiques.
Ces trois ouvrages sont comme des photographies dures, psychédéliques presque, au temps du mariage d’amour entre Hollywood et le Rock and roll.
Parce qu’on n’a pas tous la chance d‘avoir 67 ans…
Françoise M.
67 ans au compteur pour Keith Richards qui en 2010 publiait « Life » (Chez Laffont, (Norman Mailer Prize). Ce musicien, héroïnomane lucide et fier, nous livre ses plus qu’honnêtes confessions, considérées comme le vrai livre rock que beaucoup ont essayé d’écrire.
Il y a aussi le très beau « Just kids » de Patti Smith (68 ans) paru aux éditions Denoël en 2010, aussi…(National Book Award), dans lequel elle raconte le bouillonnant New-York des années 70 et sa relation avec le photographe Robert Mapplethorpe. On s’invite avec délice à la Factory, chez J. Hendrix, A. Warhol ou A. Ginsberg.
Une dernière autobiographie, celle d’Anjelica Huston (64 ans) « Suivez mon regard » paru aux Éditions de l’Olivier en 2015.
Elle vaut le détour, la fille du roi Huston, père-tyran, infidèle et absent. Elle a connu, du swinging London à Los Angeles, son lot d’amours toxiques.
Ces trois ouvrages sont comme des photographies dures, psychédéliques presque, au temps du mariage d’amour entre Hollywood et le Rock and roll.
Parce qu’on n’a pas tous la chance d‘avoir 67 ans…
Françoise M.
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