Les Suds à Arles...
Où le mélange du genre humain est une bénédiction des Dieux.
Nous serions fabriqués tous pareils, nous n’aurions pas d’angoisse mais ressemblerions sans doute à des robots insipides. Lire « un bonheur insoutenable » de Ira Levin.
Pas besoin de fumer.
Découvrez leurs albums :
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Nouvelle potion magique.
Le mélange de Breton et de human beat box a de quoi surprendre.
Ils sont fous ces gaulois !
Krismenn commence par des gimmicks ou boucle musicales. Il rejoue dessus. Peut être a-t-il une pédale loop. Nous avons l’impression d’être dans un laboratoire expérimental. Puis une véritable battle s’engage avec Alem, le champion français qui imite avec sa bouche des instruments et des bruits.
On a rien inventé : le kan ha diskan existait déjà avant le slam.
Le public sage est subjugué. On imagine la folie avec des festivaliers bien imprégnés
de musique, évidemment..
Un projet de disque commun. A suivre..
Marianne
Nous serions fabriqués tous pareils, nous n’aurions pas d’angoisse mais ressemblerions sans doute à des robots insipides. Lire « un bonheur insoutenable » de Ira Levin.
Slameur marseillais
Il mêle hip hop et musique traditionnelle. Nous donne la pêche. Son charisme nous change du rap agressif par sa poésie.
Voyage dans la tête
Entouré de musiciens qui montre une certaine prestance dans leur jeux et par le port de vêtement traditionnel. Ecoutez Mohamed Issa Matona de Zanzibar et Attoumane Soubira de Grande Comore Mohéli et vous voyagerez gratuitement.
Pas besoin de fumer.
Découvrez leurs albums :
Krismenn et Alem
Nouvelle potion magique.
Le mélange de Breton et de human beat box a de quoi surprendre.
Ils sont fous ces gaulois !
Le délire
C’est un véritable plaisir de se retrouver au rencontre de la création musicale
Krismenn commence par des gimmicks ou boucle musicales. Il rejoue dessus. Peut être a-t-il une pédale loop. Nous avons l’impression d’être dans un laboratoire expérimental. Puis une véritable battle s’engage avec Alem, le champion français qui imite avec sa bouche des instruments et des bruits.
On a rien inventé : le kan ha diskan existait déjà avant le slam.
Le public sage est subjugué. On imagine la folie avec des festivaliers bien imprégnés
de musique, évidemment..
Un projet de disque commun. A suivre..
Marianne
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