François Jeanneau en concert au Subito de Nîmes
C'est encore à un moment rare que nous convie l'association Le Jazz est là, avec le concert de François Jeanneau ce jeudi 7 mai.
Si le déclic fut pour lui un concert de Charlie Parker, à l'âge de 14 ans, François Jeanneau n'en est pas moins à l'origine de l'introduction et même de l'acclimatation du free jazz en France. Poussé par l'avant-garde américaine et avec pour compagnons de route des François Tusque, Michel Portal, Bernard Vitet etc., dans le bouillonnement de la fin des années soixante, ils se lancent dans un mouvement d'affranchissement des règles ... musicales. Jeanneau, en bonne partie autodidacte, se forme aussi au contact des grands musiciens américains de passage à Paris. Il est à l'origine de plusieurs ensembles, joue avec Aldo Romano, Jean-François Jenny-Clarke, Daniel Humair, Henri Texier et bien d'autres.
En 1986, il est le premier directeur de l'Orchestre National du Jazz.
Lorsqu'il parle du jazz, il l'évoque comme une "langue maternelle". Et deux mots essentiels : Le plaisir. «D’abord, il y a le plaisir physique de jouer, le plaisir personnel, puis ce plaisir avec les autres, pour et avec l’audience». Et puis le son. «L’essentiel : le son, l’expression de soi-même. En deux notes, se reconnaître tout de suite. Il faut trouver son propre son. ».
Il sera ce jeudi 7 mai en compagnie du batteur Joël Allouche, bien connu des gardois et du bassiste Jean-Luc Lehr.
Il est prudent de réserver, la jauge étant petite.
Jeudi 7 mai, 20h15
Le Subito (quartier Placette), Nîmes
lejazz.estla7@gmail.com
04 66 64 10 25
François Jeanneau dans les bibliothèque de Nîmes :
Quand se taisent les oiseaux
Maloya transit
Si le déclic fut pour lui un concert de Charlie Parker, à l'âge de 14 ans, François Jeanneau n'en est pas moins à l'origine de l'introduction et même de l'acclimatation du free jazz en France. Poussé par l'avant-garde américaine et avec pour compagnons de route des François Tusque, Michel Portal, Bernard Vitet etc., dans le bouillonnement de la fin des années soixante, ils se lancent dans un mouvement d'affranchissement des règles ... musicales. Jeanneau, en bonne partie autodidacte, se forme aussi au contact des grands musiciens américains de passage à Paris. Il est à l'origine de plusieurs ensembles, joue avec Aldo Romano, Jean-François Jenny-Clarke, Daniel Humair, Henri Texier et bien d'autres.
En 1986, il est le premier directeur de l'Orchestre National du Jazz.
Lorsqu'il parle du jazz, il l'évoque comme une "langue maternelle". Et deux mots essentiels : Le plaisir. «D’abord, il y a le plaisir physique de jouer, le plaisir personnel, puis ce plaisir avec les autres, pour et avec l’audience». Et puis le son. «L’essentiel : le son, l’expression de soi-même. En deux notes, se reconnaître tout de suite. Il faut trouver son propre son. ».
Il sera ce jeudi 7 mai en compagnie du batteur Joël Allouche, bien connu des gardois et du bassiste Jean-Luc Lehr.
Il est prudent de réserver, la jauge étant petite.
Jeudi 7 mai, 20h15
Le Subito (quartier Placette), Nîmes
lejazz.estla7@gmail.com
04 66 64 10 25
François Jeanneau dans les bibliothèque de Nîmes :
Quand se taisent les oiseaux
Maloya transit
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