Lulu, femme nue
Hasard du calendrier des sorties cinématographiques !
Karine Viard est à l'affiche de deux films adaptés de livres.
L'amour est un crime parfait d'après le roman Incidences de Philippe Djian
Lulu, femme nue inspiré de la BD d'Etienne Davodeau, paru en 2 volumes au éditions Futuropolis
C'est de Lulu ou plutôt des deux LULU dont je vais vous parler.
Deux regards différents pour une même femme qui fait une "parenthèse" dans sa vie.
Le réalisateur Solveig Anspach reprend le personnage central de cette mère de trois enfants, mariée, qui fait "une fugue" suite à un entretien d'embauche manqué. Mais sa version prend des libertés avec le texte et son scénario ne garde pas la mise en scène de la BD.
C'est ainsi que démarre le premier volume d'Etienne Davodeau, car c'est par l'intermédiaire des amis et de la famille de Lulu que le lecteur découvre petit à petit l'histoire.
On retrouve les dessins très réalistes d'Etienne Davodeau, son intérêt pour les gens ordinaires, leurs vies simples. Sa sincérité, son respect et sa pudeur font le reste. Et toutes ses BD se lisent avec bonheur!
Dans le film, pas de flash back, tout est au présent, le spectateur suit au jour le jour Karine Viard, très convaincante dans ce rôle de femme mure, un peu paumée.
Les rencontres sont bien là avec Charles et ses deux frères qui le protègent, Marthe la vieille dame au franc parler, Virginie la jeune serveuse martyrisée par sa patronne.
Les seconds rôles sont très marqués, plus présents que dans la BD avec des acteurs formidables, spontanés et pleins d'humour.
Lulu est touchante, fragile et déterminée à la fois, c'est en ce sens que le réalisateur est resté fidèle au personnage.
Au final, si les deux Lulu reviennent à leur point de départ, j'avoue avoir préféré la version ciné qui nous montre une femme plus sure d'elle et qui reprend son destin en main.
A chacun sa Lulu, fidèle à elle même et aux autres...
Une nouvelle femme qui s'ouvre à la vie !
Christine
Karine Viard est à l'affiche de deux films adaptés de livres.
L'amour est un crime parfait d'après le roman Incidences de Philippe Djian
Lulu, femme nue inspiré de la BD d'Etienne Davodeau, paru en 2 volumes au éditions Futuropolis
C'est de Lulu ou plutôt des deux LULU dont je vais vous parler.
Deux regards différents pour une même femme qui fait une "parenthèse" dans sa vie.
Le réalisateur Solveig Anspach reprend le personnage central de cette mère de trois enfants, mariée, qui fait "une fugue" suite à un entretien d'embauche manqué. Mais sa version prend des libertés avec le texte et son scénario ne garde pas la mise en scène de la BD.
"De ce qui est arrivé à Lulu, je ne peux vous raconter que ce que je sais."
C'est ainsi que démarre le premier volume d'Etienne Davodeau, car c'est par l'intermédiaire des amis et de la famille de Lulu que le lecteur découvre petit à petit l'histoire.
On retrouve les dessins très réalistes d'Etienne Davodeau, son intérêt pour les gens ordinaires, leurs vies simples. Sa sincérité, son respect et sa pudeur font le reste. Et toutes ses BD se lisent avec bonheur!
Une adaptation réussie
Dans le film, pas de flash back, tout est au présent, le spectateur suit au jour le jour Karine Viard, très convaincante dans ce rôle de femme mure, un peu paumée.
Les rencontres sont bien là avec Charles et ses deux frères qui le protègent, Marthe la vieille dame au franc parler, Virginie la jeune serveuse martyrisée par sa patronne.
Les seconds rôles sont très marqués, plus présents que dans la BD avec des acteurs formidables, spontanés et pleins d'humour.
Lulu est touchante, fragile et déterminée à la fois, c'est en ce sens que le réalisateur est resté fidèle au personnage.
Au final, si les deux Lulu reviennent à leur point de départ, j'avoue avoir préféré la version ciné qui nous montre une femme plus sure d'elle et qui reprend son destin en main.
A chacun sa Lulu, fidèle à elle même et aux autres...
Une nouvelle femme qui s'ouvre à la vie !
Christine
oui tu as bien saisi ce qui fait de ce film un vrai monument,tendre etexplicite.leb mari n'est visible que brièvement et c'est suffisant! l'amoureux jovial s'assoit sur la balancelle avec la jeune fille,après avoir obtenu son accord et son sourire.tout est assez lent,bien filmé dansv des tons chauds. MERCI SOLVEIG !
RépondreSupprimerUne histoire simple, une vie ordinaire... c'est juste et l'essentiel est dit ou montré sans en faire trop! je suis tout à fait d'accord avec toi, le réalisateur est fidèle à l'esprit du dessinateur mais à sa façon.
SupprimerChristine