En clôture du festival Chansons de Parole
On commence la soirée « en fanfare » avec Tony Melvil jeune artiste prometteur et on la fini toujours « en fanfare » avec LO’JO Tribu musicale cosmopolite.
Après "Tentative d’évasion", son premier disque, il devait trouver une suite logique :
Liberté conditionnelle : trop évident
Impunité parlementaire : trop polémique
Fugue : trop "jeu de mot musical"
Repris de justice : trop naze
Pourquoi pas la cavale ? Avec en couverture une série de photos, genre Mesrine, les différents visages de l’ennemi public n°1. La quête de liberté affirmée.
Cette pochette de disque est à l’image de la musique qu’il propose, comme une allégorie sur son adaptabilité. Il a la possibilité de changer aussi aisément de tête, que de genre, il nuance sans cesse sa personnalité musicale.
Etienne Villeminot c’est Tony Melvil, enfin le personnage qu’il s’est inventé et avec lequel il fait des débuts très remarqués dans le réseau chanson, surtout à l’occasion de ses concerts.
Issu d’une famille de musiciens amateurs il apprend le violon dès l’âge de 4 ans. Il est élevé dans un environnement où la musique classique à une place centrale. C’est à l’adolescence qu’il découvre Brassens, Brel côté chanteur, et les Têtes Raides et Noir Désirs pour les formations plus rock. Sa musique est marquée par ces influences ; du rock, des ballades avec guitare acoustique et de la chanson bien sûr, dans laquelle le violent est omniprésent.
Sur scène c’est un show man, son attitude va à l’encontre de ce que l’on attend de lui. Il aime qu’on l’attende quelque part et soudain surprendre son auditoire.
Laurence
Trouver ses disques à la bibliothèque
On ne présente plus le combo cosmopolite et à géométrie variable LO’JO.
Et si certains ne connaissent pas encore, pour décrire leur musique, il faudrait puiser à la fois dans des ambiances de cirque en fêtes traditionnelles, de la foule au désert, du cabaret à la place du village ... Pour une soirée haute en couleur !
Après "Tentative d’évasion", son premier disque, il devait trouver une suite logique :
Liberté conditionnelle : trop évident
Impunité parlementaire : trop polémique
Fugue : trop "jeu de mot musical"
Repris de justice : trop naze
Pourquoi pas la cavale ? Avec en couverture une série de photos, genre Mesrine, les différents visages de l’ennemi public n°1. La quête de liberté affirmée.
Cette pochette de disque est à l’image de la musique qu’il propose, comme une allégorie sur son adaptabilité. Il a la possibilité de changer aussi aisément de tête, que de genre, il nuance sans cesse sa personnalité musicale.
Etienne Villeminot c’est Tony Melvil, enfin le personnage qu’il s’est inventé et avec lequel il fait des débuts très remarqués dans le réseau chanson, surtout à l’occasion de ses concerts.
Issu d’une famille de musiciens amateurs il apprend le violon dès l’âge de 4 ans. Il est élevé dans un environnement où la musique classique à une place centrale. C’est à l’adolescence qu’il découvre Brassens, Brel côté chanteur, et les Têtes Raides et Noir Désirs pour les formations plus rock. Sa musique est marquée par ces influences ; du rock, des ballades avec guitare acoustique et de la chanson bien sûr, dans laquelle le violent est omniprésent.
Sur scène c’est un show man, son attitude va à l’encontre de ce que l’on attend de lui. Il aime qu’on l’attende quelque part et soudain surprendre son auditoire.
Laurence
Trouver ses disques à la bibliothèque
On ne présente plus le combo cosmopolite et à géométrie variable LO’JO.
Et si certains ne connaissent pas encore, pour décrire leur musique, il faudrait puiser à la fois dans des ambiances de cirque en fêtes traditionnelles, de la foule au désert, du cabaret à la place du village ... Pour une soirée haute en couleur !
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