Dead Man, un western nîmois

Après un premier album remarqué, sorti en 2012, Harold Martinez nous revient avec un second disque : Dead Man,  aux sonorités plus électriques mais toujours aussi pénétrantes.




Accompagné de son alter ego, le batteur Fabien Tolosa, ils nous proposent un album habité. Quand Harold Martinez chante, sa voix fragile au bord du sanglot nous raconte des histoires d’indiens, de pendus, de prisons et de fantômes folk mâtinés de blues tribal. Un univers de westen noir qui serait né à Nîmes. Fabien Tolosa cisèle tout en brutale finesse de sombres ryhtmes d’un rock oublié. Il faut le voir jouer avec ses chaînes, tandis que pleurent les guitares d’Harold.

 

Soutenu par  LaBellePaloma, il prend aujourd’hui son envol loin des contrées arides et sauvages. Souhaitons lui les verts pâturages du succès.


Mireille

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