Concert Hubert Félix Thiéfaine Paloma 17 avril 2015
Habillé de son manteau de pluie, le Sud a accueilli Hubert Félix Thiéfaine, pour lui donner un petit signe de reconnaissance de sa région d'origine.
C’est un petit clin d’œil d’une native.
Puis le phénix Thiéfaine a fait fuir le ciel ombragé et dans une suggestion d’ambiance apocalyptique, il a surgi sur scène tel un pauvre humain au milieu de la rage du monde.
Au début du concert, les effets de lumière étaient un peu critiques car ils étaient dirigés sur la salle et j'étais obligée de fermer les yeux.
Hubert Félix au milieu d’un kaléidoscope de luminosités, interprète ses textes d’une finesse poétique, fuselés de notions historiques, géographiques …DENSES.
J’ai bien aimé les ambiances de gris et de rouge qui me font penser au film Sin city tiré de la BD de Frank Miller.
Les faisceaux bleus et blancs qui jouent sur un monde onirique et qui s’accrochent bien au texte, nous plongent dans un univers froid mais bienveillant.
Le mélange de ses anciennes chansons et de son nouvel album est bien agencé. Son petit humour franc-comtois reste perceptible pour les connaisseurs.
Coucou aux collègues qui me fréquentent.
J’étais scotchée car attentive aux textes. Révolté de la première heure, il retrouve ses allures de petit garçon dans certaines attitudes.
Les spectateurs l’ont ovationné, et sur l’air de la fille du coupeur de joints, l’ont rappelé deux fois.
Reconnaissance en ses musiciens et à son fils qui s’éclate sur scène. Il a participé à ce dernier album.
Il faudrait qu’on m’explique pourquoi il est boudé par certains médias : Médiacrité dirait-il, mais peu importe il est suivi par un public dense.
A lire, la critique détaillée du concert sur Le Musicodrome.
Chanson.
Voix grave et textes réalistes qui nous renvoient à d’anciennes connaissances.
Il travaille énormément l’ambiance avec ses musiciens.
Il était bien dans le ton du spectacle qui allait suivre. Hélas le son n’était pas très bon.
Artiste à suivre...
Marianne
C’est un petit clin d’œil d’une native.
Puis le phénix Thiéfaine a fait fuir le ciel ombragé et dans une suggestion d’ambiance apocalyptique, il a surgi sur scène tel un pauvre humain au milieu de la rage du monde.
Au début du concert, les effets de lumière étaient un peu critiques car ils étaient dirigés sur la salle et j'étais obligée de fermer les yeux.
Hubert Félix au milieu d’un kaléidoscope de luminosités, interprète ses textes d’une finesse poétique, fuselés de notions historiques, géographiques …DENSES.
J’ai bien aimé les ambiances de gris et de rouge qui me font penser au film Sin city tiré de la BD de Frank Miller.
Les faisceaux bleus et blancs qui jouent sur un monde onirique et qui s’accrochent bien au texte, nous plongent dans un univers froid mais bienveillant.
Le mélange de ses anciennes chansons et de son nouvel album est bien agencé. Son petit humour franc-comtois reste perceptible pour les connaisseurs.
Coucou aux collègues qui me fréquentent.
J’étais scotchée car attentive aux textes. Révolté de la première heure, il retrouve ses allures de petit garçon dans certaines attitudes.
Les spectateurs l’ont ovationné, et sur l’air de la fille du coupeur de joints, l’ont rappelé deux fois.
Reconnaissance en ses musiciens et à son fils qui s’éclate sur scène. Il a participé à ce dernier album.
Il faudrait qu’on m’explique pourquoi il est boudé par certains médias : Médiacrité dirait-il, mais peu importe il est suivi par un public dense.
A lire, la critique détaillée du concert sur Le Musicodrome.
En première partie : Julien Fortier
Chanson.
Voix grave et textes réalistes qui nous renvoient à d’anciennes connaissances.
Il travaille énormément l’ambiance avec ses musiciens.
Il était bien dans le ton du spectacle qui allait suivre. Hélas le son n’était pas très bon.
Artiste à suivre...
Marianne
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